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Maryam Radjavi : le symbole de l’éternel combat pour la justice

La présidente du Conseil national de la Résistance iranienne consacre son temps à se battre contre l’injustice. Voici plus de détails dans cet article.

Maryam Radjavi lance un appel à l’aide à l’ONU

Maryam radjavi, a sollicité un appui international par le biais d’un geste de conscientisation adressé au Secrétaire général l’ONU. Cet appel à l’aide touche également les membres du Conseil de sécurité de l’Organisation ainsi que les hauts responsables du Conseil des droits de l’homme de cette institution. Tout cela, dans le but d’empêcher le régime iranien de détruire les tombes des victimes du massacre de 1988 en Iran. En effet, le régime iranien en place ne veut qu’une chose : construire un grand boulevard à la place les tombes afin de supprimer toutes les traces des victimes du massacre de 1988. Et pour cause, ces tombes constituent des preuves que le régime veut à tout prix détruire pour masquer le génocide. L’une des premières cibles de cet acte sont les tombes situées à Ahwaz au Sud-ouest de l’Iran.

Pour Maryam Radjavi, cette démolition programmée est considérée comme une véritable torture morale pour les familles des victimes. Ces dernières ne cherchent qu’à présenter les coupables de ce crime ainsi que leurs complices à la justice. Fin juin 2018, le régime est déjà arrivé à anéantir l’intégralité des tombes des martyrs Moudjahidine, plus précisément le cimetière Vadi-e Rahmat de Tabriz. Pour rappel, en plus des luttes purement politiques, Maryam Radjavi participe également à l’abolition des discriminations basées sur le sexe.

Maryam Radjavi lance un mouvement de lutte contre l’injustice qui règne en Iran

En tant que présidente du CNRI et fervente partisane de l’Organisation des moudjahiddines du peuple iranien (OMPI), Maryam Radjavi a déjà lancé, en 2016, un appel à toute l’opposition iranienne à la formation d’un mouvement de lutte contre les injustices. Pour ce qui est du massacre de 1988, la liste de l’identité des victimes ainsi que les personnes qui ont participé à ce massacre a déjà été publié.

Cette lutte s’est rapidement étendue dans la quasi-totalité du territoire iranien, voire à l’étranger. Pour les observateurs, c’est une étape cruciale ; en d’autres termes, un grand pas vers une liberté d’expression après une vingtaine d’années de silence de la part des opposants. En tout cas, ce mouvement a contraint le régime en place à s’exprimer sur les facteurs qui ont déclenché ce crime contre l’humanité. D’autant plus que les preuves sont accablantes aux yeux des instances pénales internationales.
Grâce aux efforts de reconnaissance accompagnés de campagnes politiques de plus en plus intenses, l’OMPI a gagné en force et en notoriété. Cela a favorisé la finalisation du transfert des Achrafiens en Albanie et dans d’autres pays membres de l’Union européenne. Cette décision a également mis à mal l’intention du régime des mollahs à mettre fin au développement de l’OMPI sur le territoire irakien.

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